Chansons de Joël VALARCHER

Auteur Compositeur Interprète

LES FLEURS TOMBEES DES MILLIERS DE ROSES

LA ROBE NOIRE UN PAS EN AVANT

LA TERRE DE SON PERE LES CONTRES ALLEES

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LES FLEURS TOMBEES

Qu'on donne les fleurs tombées à mon père
Les fleurs cueillies à ma mère
Qui était là dans sa robe blanche comme un ange

Je m'en souviens encore
Mon père n'était pas rentré
Les 40 heures n'existaient pas encore

J'ai beau chercher
Je ne vois pas mon père
Assis près de moi

Qu'on donne les fleurs tombées à mon père
Les fleurs cueillies à ma mère
Qui se tenait, si près de moi
Quand il n'était pas là

Je cherche en vain,
Je ne vois pas les années d'autrefois

Qu'on donne les fleurs tombées à mon père
Les fleurs cueillies à ma mère
Pourront-ils pardonner mes erreurs d'autrefois

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DES MILLIERS DE ROSES

Des milliers de roses
se posent sur toi
toi qui n'as plus rien
même plus de toit

Quand tu tends la main
tu sens le jasmin
du côté jardin, tu sens le thym

Elle est là , la liberté
des gens qui n'ont rien volé
elle est là, la liberté
des gens qui sont oubliés

Des milliers de roses
se posent sur toi
des cartons couchés
feront un lit pour toi

Si tu ne te relèves pas
les pétales de roses se coucheront sur toi

Des milliers de roses
me parlent de toi
de ce désarroi,
tu n'avais pas le choix.

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LA ROBE NOIRE

Ecoute là bien
Elle va chanter
Ecoute là bien
Elle va te faire rêver

Dans sa robe noire,
Son corps déchiré
Les mains en avant
Comme pour prier

En ce temps là
C'était pas facile
Y avait pas de synthé
Y avait pas de choristes

S'il pleut sur Paris
C'est qu'elle est encore là
Quand la nuit descend
Moi je l'entends

S'il pleut sur Paris
C'est qu'elle est encore là
Quand la nuit descend
Moi je l'entends

Ecoute là bien
Elle va chanter
Ecoute là bien
Elle va te faire rêver

Dans sa robe noire
Son corps déchiré
Les mains en avant
Comme pour prier

Allez allez milord
Viens t'asseoir à ma table
Allez allez milord
Donne moi l'heure
Moi j'essuie les verres
Au fond du café
J'ai bien trop à faire
Pour pouvoir rêver

Rue de la Paix
On l'entendait
Saint-Germain-des-Prés
On fredonnait

S'il pleut sur Paris
C'est qu'elle est encore là
Quand la nuit descend
Vous l'entendez

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UN PAS EN AVANT

Un pas en avant et je suis devant
Un pas en arrière et je suis derrière
Disait Lolita, et c'est comme ça
On ne peut rien faire, la vie c'est comme ça.

Je n'ai pas toujours gagné.
Je n'ai pas toujours perdu.
Mais la chance me l'a rendu.

Je ne suis pas malade, je supporte bien mon âme
Et je m'entends bien.... et c'est bien comme ça
Clamait Lolita, on vit comme ça
On s' accommode et c'est mieux comme ça.

C'est comme la peinture
ça dure un instant....
IL faut savoir regarder dedans.

Qui n'a pas vu ? dans la peinture, Lolita faisant
des signes devant ...

Ah, Lolita.........

Toi qui m'a tant appris
Je te regrette maintenant.

Ah, Lolita..... Lolita
Je pense toujours à toi.

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LA TERRE DE SON PERE

Il vendait des fleurs,
Il vendait des arbres,
De toutes les couleurs
Quant l'hiver est venu,

La sève est descendue
Cachée sous la terre
Au plus profond des racines.

Le gel apparût
Couché sur la terre
La neige blanchit ses lopins de terre.

Il n'avait rien au-dessus de lui,
Que son père qui lui donna sa terre,

Il n'avait rien d'autre à faire,
Il fallait lui plaire,
La sincérité était acceptée.

Les gens de la terre,
Tous sincères,
Une poignée de main
Vous disent à demain.

Il vendait des fleurs,
Il vendait des arbres,
Amoureux des couleurs
Il leur a tout donné.

Il n'avait rien au-dessus de lui,
A part la mort de son père
Qu'il avait tant aimé.

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LES CONTRES ALLEES

Elle vendait des fleurs sur le marché
et des cailloux, c'était des bijoux.
Dans les contres allées,
elle me faisait rêver.
Dans les contres allées
on allait l'écouter.

Elle n'était pas très jolie
mais elle avait du charme qui se dégageait.
Dans les contre allées,
elle me faisait rêver.
Dans les contres allées,
elle savait raconter.

Un jour, elle s'en est allée,
nuage de fumée, elle nous a quittés.
dans les contres allées,
il reste des cailloux,
dans les contres allées
des fleurs et des bijoux.

Je pense encore à elle...
comme elle était belle !
Tire tire d'ailes,
elle s'est envolée
pour ne plus revenir.
Elle s'est envolée, je ne l'ai pas oubliée.

J'ai le coeur trop serré pour lui dire je t'aime.
Je ne t'ai pas oubliée !
Je peux encore rêver sans me blesser (bis).

 

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